Vu et je vous les conseille :
- Les secrets du Yamato http://www.planetethalassa.com/programmes/...p;BROA_ID=16189
- L'or des Nazis http://www.planete.tm.fr/programmes/fiche....p;BROA_ID=23933 à voir absolument, terrifiant...
- BATAILLES NAVALES : LES CHEVALIERS DES MERS http://www.planetethalassa.com/programmes/...p;BROA_ID=16190
3 docus très intéressants, l'or des nazis est absolument à voir - sans commentaire - et les chevaliers montrent le programme d'échange US Navy et Aéronavale, très intéressant pour voir un peu ces métiers pas commes les autres, on y découvre aussi un CV US avec 6000 mecs à bord...
Version complète : 3 documentaires sur Planète & Planète Thalassa
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L'or des nazis? Aachhh....Vous êtes incorrigible Professeur Jones!
l'or serait il caché dans l'Indiana ? 
Salut, ce soir il y a un reportage sur TRAFALGAR, dont voici un resumé pour donné une idée a titre indicatif
Critique télérama
Résumé
Documentaire-fiction de Fabrice Hourlier (France, 2007). 55 mn. Inédit. Avec Laurent Schilling : l’amiral Villeneuve. Jérôme Pradon : le capitaine Lucas.
Trafalgar, 21 octobre 1805 : 4 700 morts pour la flotte franco-espagnole ; 450 du côté anglais. Il aura fallu cette catastrophe pour que Napoléon abandonne définitivement ses vues sur l’Angleterre. L’histoire a retenu le nom de l’amiral Nelson, redoutable stratège de la Royal Navy, mais s’est empressée de noyer celui de Villeneuve, qui commanda les escadres française et espagnole.
Le réalisateur Fabrice Hourlier fait reprendre du service au malheureux sur le pont d’un Bucentaure virtuel, impressionnant navire modélisé en 3D à partir de plans d’époque. Les choix esthétiques, assez inégaux, tendent à déréaliser la reconstitution de la bataille : les couleurs des images de synthèse sont inspirées de tableaux du XIXe siècle, un halo ridicule entoure la silhouette des personnages et les éternels candélabres en arrière-plan semblent tout droit sortis d’un dessin animé.
Mais, et c’est là l’essentiel, le film réussit le double pari qu’il s’était fixé : impressionner le téléspectateur par la violence des affrontements et lui apprendre le pourquoi et le comment d’une pareille déculottée. Des historiens français et britanniques rendent clairement compte des deux stratégies militaires sans tomber pour autant dans la schématisation.
Le personnage de l’amiral Villeneuve, loin d’être une illustration prétexte de leurs analyses, apporte un éclairage psychologique déterminant sur l’issue des combats. Trafalgar cesse alors d’être une date infamante sur un manuel d’histoire pour devenir un duel palpitant entre l’intelligence des deux amiraux.
Chloé Aeberhardt
Critique télérama
Résumé
Documentaire-fiction de Fabrice Hourlier (France, 2007). 55 mn. Inédit. Avec Laurent Schilling : l’amiral Villeneuve. Jérôme Pradon : le capitaine Lucas.
Trafalgar, 21 octobre 1805 : 4 700 morts pour la flotte franco-espagnole ; 450 du côté anglais. Il aura fallu cette catastrophe pour que Napoléon abandonne définitivement ses vues sur l’Angleterre. L’histoire a retenu le nom de l’amiral Nelson, redoutable stratège de la Royal Navy, mais s’est empressée de noyer celui de Villeneuve, qui commanda les escadres française et espagnole.
Le réalisateur Fabrice Hourlier fait reprendre du service au malheureux sur le pont d’un Bucentaure virtuel, impressionnant navire modélisé en 3D à partir de plans d’époque. Les choix esthétiques, assez inégaux, tendent à déréaliser la reconstitution de la bataille : les couleurs des images de synthèse sont inspirées de tableaux du XIXe siècle, un halo ridicule entoure la silhouette des personnages et les éternels candélabres en arrière-plan semblent tout droit sortis d’un dessin animé.
Mais, et c’est là l’essentiel, le film réussit le double pari qu’il s’était fixé : impressionner le téléspectateur par la violence des affrontements et lui apprendre le pourquoi et le comment d’une pareille déculottée. Des historiens français et britanniques rendent clairement compte des deux stratégies militaires sans tomber pour autant dans la schématisation.
Le personnage de l’amiral Villeneuve, loin d’être une illustration prétexte de leurs analyses, apporte un éclairage psychologique déterminant sur l’issue des combats. Trafalgar cesse alors d’être une date infamante sur un manuel d’histoire pour devenir un duel palpitant entre l’intelligence des deux amiraux.
Chloé Aeberhardt
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