Souvenir, souvenir !
Depuis « Silent Service » sur Atary, peu de choses avaient changées dans tous les simulateurs de sous-marins de la 2nd guerre mondiale, « Silent Hunter IV » inclus.
Je ne parle pas ici de l’avancée technologique du graphisme, lié au bond technologique des processeurs et des cartes graphiques , mais plutôt du « gameplay » !
De « Silent Service » à « Silent Hunter IV », l’utilisateur était considéré comme suffisamment éclairé pour réaliser une mission avec un ordre de mission assez général. Les missions de campagnes demandaient certes de répondre quelque fois à des objectifs précis (déposer un commando près d’une plage ou photographier un site). Mais jamais plus.
Avec Silent Hunter V, nous sommes rentré dans l’air du mongolisme congenital. Pour ouvrir son produit au plus grand nombre, et en particulier à tous les afficianados de O’blivion et consort, Ubi a décidé de lancer des missions structurées, débiles et irréversibles.
Existe-t-il un commandement, même Nazi , qui vous demanderait de couler un Porte-avion enemi avant le 1er mars 1940 ?
Non. Seul Ubi Soft la fait !
Alors ce n’est pas les innombrables bugs, habituels avec cette société, ni la DRM qui vont plomber SH5, mais plutôt le gameplay, à moins que les « moders » arrivent à faire sauter cette limitation pour ménagères de moins de 50 ans.
+ Kawliga