Porte-avions d'escorte japonais
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Généralités
Pâle imitation de leurs homologues occidentaux, les porte-avions d'escorte japonais étaient en fait des petits et moyens paquebots reconvertis. Rien dans leur conception ne permettait d'en faire des instruments efficaces : pont d'envol court, sans catapultes ni brins d'arrêt, pas d'îlot et une motorisation poussive. Non seulement inadaptés dans les escortes de flotte de guerre, ils le furent aussi dans les missions d'escorte de convoi, se faisant couler par les sous-marins qu'ils étaient censés traquer.
Les pertes
Sur les 12 porte-avions légers et d'escorte qui participèrent au conflit, 10 furent détruits :
- par l'aviation et l'aéronavale : 6
- par les sous-marins : 4
Silhouettes
Navires à une cheminée dépassant au dessus de l'îlot
- classe Shinano : cette unité n'est pas présente dans le jeu Silent Hunter 4, Wolves of the Pacific.
- classe Taiho
Navires à cheminées inclinées plus basses que le pont d'envol
Ilot au gauche du pont
- classe Akagi : cette unité n'est pas présente dans le jeu Silent Hunter 4, Wolves of the Pacific.
- classe Hiryu
Ilot à droite du pont
- classe Kaga : cette unité n'est pas présente dans le jeu Silent Hunter 4, Wolves of the Pacific.
- classe Shokaku
Réputation
Dans le jeu Silent Hunter IV, Wolves of the Pacific, et pour une partie jouée à 100% de réalisme, la destruction d'un porte-avions d'escorte est bonifiée d'un gain de 900 points.